Le diagnostic précoce des maladies sexuellement
transmissibles est essentiel. Certains symptômes, mais aussi certaines
situations doivent alerter et conduire à consulter rapidement.
Les maladies sexuellement transmissibles se manifestent par des signes variés et souvent très discrets, notamment chez la femme. Pourtant il est fondamental de diagnostiquer et de traiter ces infections tôt pour éviter les séquelles que certaines d'entre elles peuvent entraîner.
D'abord, on pourrait dire que tout rapport non protégé avec une personne ayant des facteurs de risque connus de MST (toxicomanie par voie veineuse, partenaires sexuels multiples, par exemple) ou, a fortiori, avec une personne que l'on sait atteinte de l'une de ces maladies implique un risque de contamination. Au moindre doute, mieux vaut demander l'avis de son médecin ou aller dans un centre de dépistage, où un examen et des tests pourront être réalisés pour rechercher une infection génitale, mais aussi une contamination par le virus de l'hépatite B ou le VIH. En cas de rapport non protégé ou de rupture de préservatif lors d'un rapport avec un partenaire séropositif, un traitement préventif peut éventuellement être instauré, à condition d'être entrepris très rapidement après le rapport.
Des symptômes à ne pas négliger
La syphilis se manifeste, dans les cas les plus caractéristiques, par une ulcération (chancre), trois semaines après le contact infectieux, la gonococcie et les infections à chlamydiae par des écoulements à l'extrémité du gland (écoulement urétral), chez l'homme. Mais toutes ces infections peuvent passer totalement inaperçues ou donner des signes peu évocateurs.
En fait, tout symptôme génital doit être pris au sérieux. Il peut s'agir de douleurs lors des rapports, de pertes vaginales ou de saignements en dehors des règles, de douleurs pelviennes chez la femme, d'écoulement urétral chez l'homme, de brûlures urinaires, de lésions diverses, génitales ou anales.
Toute anomalie visible, ulcération, érosion, bouton ou végétation doit être considérée, a priori comme un signe de maladie sexuellement transmissible et conduire à consulter.
Attention aux partenaires
Mais il est tout aussi important que les partenaires des patients infectés aient un dépistage et, le cas échéant, un traitement, pour éviter que d'autres personnes ne soient contaminées, bien sûr, mais aussi pour empêcher que l'infection ne devienne chronique. En effet, le danger est de voir se développer des complications à bas bruits, et notamment une stérilité chez les femmes infectées. Le risque est d'autant plus grand que, souvent, seul un examen gynécologique permet de repérer des lésions.
Les maladies sexuellement transmissibles se manifestent par des signes variés et souvent très discrets, notamment chez la femme. Pourtant il est fondamental de diagnostiquer et de traiter ces infections tôt pour éviter les séquelles que certaines d'entre elles peuvent entraîner.
Quand faut-il s'inquiéter et consulter ?
D'abord, on pourrait dire que tout rapport non protégé avec une personne ayant des facteurs de risque connus de MST (toxicomanie par voie veineuse, partenaires sexuels multiples, par exemple) ou, a fortiori, avec une personne que l'on sait atteinte de l'une de ces maladies implique un risque de contamination. Au moindre doute, mieux vaut demander l'avis de son médecin ou aller dans un centre de dépistage, où un examen et des tests pourront être réalisés pour rechercher une infection génitale, mais aussi une contamination par le virus de l'hépatite B ou le VIH. En cas de rapport non protégé ou de rupture de préservatif lors d'un rapport avec un partenaire séropositif, un traitement préventif peut éventuellement être instauré, à condition d'être entrepris très rapidement après le rapport.
Des symptômes à ne pas négliger
La syphilis se manifeste, dans les cas les plus caractéristiques, par une ulcération (chancre), trois semaines après le contact infectieux, la gonococcie et les infections à chlamydiae par des écoulements à l'extrémité du gland (écoulement urétral), chez l'homme. Mais toutes ces infections peuvent passer totalement inaperçues ou donner des signes peu évocateurs.
En fait, tout symptôme génital doit être pris au sérieux. Il peut s'agir de douleurs lors des rapports, de pertes vaginales ou de saignements en dehors des règles, de douleurs pelviennes chez la femme, d'écoulement urétral chez l'homme, de brûlures urinaires, de lésions diverses, génitales ou anales.
Toute anomalie visible, ulcération, érosion, bouton ou végétation doit être considérée, a priori comme un signe de maladie sexuellement transmissible et conduire à consulter.
Attention aux partenaires
Mais il est tout aussi important que les partenaires des patients infectés aient un dépistage et, le cas échéant, un traitement, pour éviter que d'autres personnes ne soient contaminées, bien sûr, mais aussi pour empêcher que l'infection ne devienne chronique. En effet, le danger est de voir se développer des complications à bas bruits, et notamment une stérilité chez les femmes infectées. Le risque est d'autant plus grand que, souvent, seul un examen gynécologique permet de repérer des lésions.
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