Le risque de cancer du côlon est très élevé en France. Il
s'agit de la deuxième cause de décès par cancer. Cependant, d'importants
progrès sont intervenus au cours des dernières années, tant sur le plan
diagnostique que thérapeutique. Résultats : une augmentation importante
des taux de survie à long terme.
A l'image de l'Europe Occidentale, la France se classe parmi les pays ayant une fréquence élevée de cancer colorectal, tout comme l’Europe de l’Ouest, les Etats-Unis, l'Australie et plus récemment le Japon. Les pays d'Asie, d'Amérique Latine et, surtout, d'Afrique ont un risque jusqu'à trente fois plus faibles. L'Europe de l'Est et les pays scandinaves se caractérisent par un risque intermédiaire.
Si l'ensemble des régions françaises sont touchées de façon homogène, on note comme dans les autres pays à risque élevé, une augmentation de sa fréquence 2.
Les données du registre de la Côte d'Or 3 indique ainsi que le risque d'avoir au cours de la vie un cancer colique s'élève à 3,4 % pour les hommes nés entre 1937 et 1945, tandis qu'il n'est que de 1,9 % pour ceux nés au tournant du siècle (entre 1897 et 1905). Pour les femmes, le risque a très peu évolué (1,6 % contre 1,5 %).
Mais l'évolution est très différente selon la localisation du cancer : il a doublé, chez les hommes comme chez les femmes pour le cancer du côlon droit, alors que pour le côlon gauche il est resté pratiquement inchangé chez les hommes et a diminué de moitié chez les femmes. Ces disparités suggèrent l'existence de facteurs de risques différents.
Sources : Francim 2007
Les départements français sont très inégaux face à la mortalité par cancer colorectal. Certains facteurs, tels que le niveau socio-économique, le lieu d'habitation ou l'origine, ont une influence sur les taux de survie. Ces différences de pronostic reflètent des inégalités d'accès aux soins, responsables d'un diagnostic plus tardif.
Taux standardisés sur l'âge de mortalité par cancer colorectal à l'échelle des départements (2002-2003)
Pour les hommes, les taux standardisés sont, dans les départements de couleur rouge, d'environ 47 pour 100 000 et, dans les départements en jaune pâle, d'environ 24 pour 100 000. Pour les femmes, l'amplitude de l'écart entre les départements est du même ordre : de l'ordre de 27 pour 100 000 dans les départements de couleur verte, et de 14 pour 100 000 dans les départements en jaune pâle.
Taux standardisés pour les décès par cancer colorectal en France métropolitaine
A l'image de l'Europe Occidentale, la France se classe parmi les pays ayant une fréquence élevée de cancer colorectal, tout comme l’Europe de l’Ouest, les Etats-Unis, l'Australie et plus récemment le Japon. Les pays d'Asie, d'Amérique Latine et, surtout, d'Afrique ont un risque jusqu'à trente fois plus faibles. L'Europe de l'Est et les pays scandinaves se caractérisent par un risque intermédiaire.
Cancer colorectal : un cancer en augmentation
Le cancer colorectal est la plus fréquente des tumeurs malignes dans la population française 1. Selon l’Institut national du cancer, 40 500 nouveaux cas ont été diagnostiqués en 2011, dont 53 % chez l’homme (schématiquement, les deux tiers sont localisés au côlon, Un peu moins d’un tiers au rectum et un peu plus de 10% à la jonction entre rectum et côlon sigmoïde).Si l'ensemble des régions françaises sont touchées de façon homogène, on note comme dans les autres pays à risque élevé, une augmentation de sa fréquence 2.
1980
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1985
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1990
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1995
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2000
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2011
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Nombre estimé de nouveaux cas (hommes et femmes)
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23 967 | 26 606 | 29 617 | 33 126 | 36 257 | 40 500 |
Taux d'incidence pour 100 000 hommes
|
33,1 | 34,8 | 36,4 | 37,9 | 39,1 | 36,3 |
Taux d'incidence pour 100 000 femmes
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21,8 | 22,8 | 23,5 | 24,2 | 24,6 | 24,7 |
Sources : L. Remontet, INVS, 2003/Institut national du Cancer 2011
Si
l'on considère les deux sexes séparément, ce cancer vient au troisième
rang chez l'homme, derrière le cancer du poumon et le cancer de la
prostate, et au deuxième rang chez la femme, derrière le cancer du sein.
Responsables de 17 500 décès en 2011 (9 200 hommes et 8 300 femmes), il
représente, la deuxième cause de décès par cancer, après le cancer du
poumon. Le nombre de nouveaux cas par an (incidence) augmente
régulièrement.Cancer du côlon : des différences entre les sexes
En 2005, l'âge moyen lors du diagnostic d'un cancer colorectal était de 70 ans chez l'homme et de 73 ans chez la femme. Si le nombre de nouveaux cas reste identique chez les deux sexes avant 55 ans, il augmente plus rapidement chez les hommes par la suite.Les données du registre de la Côte d'Or 3 indique ainsi que le risque d'avoir au cours de la vie un cancer colique s'élève à 3,4 % pour les hommes nés entre 1937 et 1945, tandis qu'il n'est que de 1,9 % pour ceux nés au tournant du siècle (entre 1897 et 1905). Pour les femmes, le risque a très peu évolué (1,6 % contre 1,5 %).
Mais l'évolution est très différente selon la localisation du cancer : il a doublé, chez les hommes comme chez les femmes pour le cancer du côlon droit, alors que pour le côlon gauche il est resté pratiquement inchangé chez les hommes et a diminué de moitié chez les femmes. Ces disparités suggèrent l'existence de facteurs de risques différents.
Cancer du côlon droit, gauche ?... Petit rappel anatomiquesSitué dans l’abdomen, le côlon est situé entre l’intestin grêle et le rectum. D’une longueur d’environ 1,5 m, il se divise en 4 segments :
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Survie du cancer colorectal : un pronostic qui dépend du stade d'évolution du cancer
Globalement pour tous les cas ce cancer du côlon-rectum, la survie relative à 5 ans est de 56 %. Le pronostic est étroitement lié au stade auquel le cancer est diagnostiqué. Lorsque la tumeur est superficielle (stade 1), la survie à cinq ans est de l'ordre de 90 %, tandis qu'elle est de 5 % en cas de métastase. D'où l'intérêt de détecter ces cancers le plus tôt possible.
Classification TNM
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Stades au diagnostic (données 2000)
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Survie relative à 5 ans
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Survie relative à 10 ans
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Stade I
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19 % | 94 % | 90 % |
Stade II
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28 % | 80 % | 65 % |
Stade III
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26 % | 47 % | 36 % |
Stade IV
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22 % | 5 % | 3 % |
Les départements français sont très inégaux face à la mortalité par cancer colorectal. Certains facteurs, tels que le niveau socio-économique, le lieu d'habitation ou l'origine, ont une influence sur les taux de survie. Ces différences de pronostic reflètent des inégalités d'accès aux soins, responsables d'un diagnostic plus tardif.
Taux standardisés sur l'âge de mortalité par cancer colorectal à l'échelle des départements (2002-2003)
Pour les hommes, les taux standardisés sont, dans les départements de couleur rouge, d'environ 47 pour 100 000 et, dans les départements en jaune pâle, d'environ 24 pour 100 000. Pour les femmes, l'amplitude de l'écart entre les départements est du même ordre : de l'ordre de 27 pour 100 000 dans les départements de couleur verte, et de 14 pour 100 000 dans les départements en jaune pâle.
Cancer colorectal : la survie progresse !
Les progrès thérapeutiques ainsi que les diagnostics plus précoces ont entraîné une amélioration des taux de survie au cours des dernières décennies. Du fait du vieillissement de la population française, le cancer colorectal concerne de plus en plus de personnes. D’après les estimations, le nombre de cancers colorectaux devrait augmenter dans les prochaines années pour atteindre 45 000 nouveaux cas annuels en 2020. Mais si l'on s'affranchit de ces modifications démographiques, on observe une baisse des taux de mortalité.Taux standardisés pour les décès par cancer colorectal en France métropolitaine
Je m'appelle donald boykins, je suis ici pour remercier le docteur Akhigbe d'avoir utilisé ses médicaments à base de plantes pour soigner mon virus de l'herpès. Cela fait environ 3 ans et 6 mois que je vis avec ce virus et cela a été un grave problème pour moi. J'étais tellement confus que je prenais plusieurs médicaments pour me soigner mais tous mes efforts ont été vains, un matin Je parcourais Internet, puis j’ai vu plusieurs témoignages sur le Dr Akhigbe qui guérissait des personnes du virus de l’herpès. Immédiatement, j’ai contacté le Dr Akhigbe par courrier électronique à l'adresse drrealakhigbe@gmail.com. Je lui ai parlé de mes problèmes et il m'a dit être guéri, il m'a donné des instructions et que j'ai correctement suivies. il prépara donc un médicament à base de plantes et me l'envoya que j'utilisai pendant 2 semaines et que j'étais guéri, tout ressemblait à un rêve pour moi et mon virus de l'herpès avait totalement disparu, dr .Akhigbe, que Dieu vous bénisse et vous donne plus de pouvoir et de capacité Je ne sais pas s’il ya des gens qui souffrent du virus de l’herpès ou de l’une de ces maladies ... DIDABETES, CANCER, VIH / SIDA, HERPES, HEPATITES DES HERPES, MALADIES A ET B, etc., pourquoi ne pas contacter dr .Akhigbe aujourd'hui et soyez libre de vos maladies parce qu'il est très bon et honnête Docteur et il est aussi appelé le parrain de l'herboralisme, contactez-le par e-mail; drrealakhigbe@gmail.com ou whatsApp lui sur 2348142454860
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